À PROPOS

Il est important pour nous d’observer les confiseries selon leur apparence. Cela permet de les rendre appétissante, mais d’un autre côté cela pourrait couvrir le manque de goût.
 Les haricots que nous utilisons dans la confection de notre amanatto comportent une large variété de saveurs. Par exemple l’un à le parfum de la terre, tandis que l’autre laisse apparaitre sa saveur au cours d’une lente dégustation. Extraire le caractère particulier de chaque haricot est un travail digne d’intérêt mais la vente peut s'avérer difficile sans l’utilisation d’agents blanchissant et de colorants.
(Nous décidons d’abord la direction que nous souhaitons suivre et regardons ensuite les efforts que nous pouvons faire.)
Nous communiquons constamment avec les producteurs de haricots, ils nous indiquent par exemple : « Cette année le Shirohanamame a de très belles fleurs » et ces points de détail ont une importance pour l’acquisition des produits. Nous avons beaucoup de choses à apprendre des agriculteurs.

Il y a trois étapes dans la conception de l’amanatto, faire bouillir, faire cuire à la vapeur et enfin refaire bouillir avec du sirop. Si l’on essaye de réaliser ces étapes à la perfection, les ajustements sont infinis. Ces processus d’élaboration et de recherche incessante me semblent essentiels. À travers ces gestes simples je répond à une curiosité élémentaire qui m’apporte une réflexion sur la vie.